Pampatar, ce jolie village de pêcheur se transforme.
Le village constitué de ces petites maisons collées les unes aux autres dont les façades sont peintes de couleurs pastel et vive parfois, comme dans une bande dessinée.
Les grilles aux fenêtres de style espagnoles et ces hautes portes d'entrées de bois vieillis, repeinte tous les ans, la hauteur des toits inclinés vers l'arrière de la demeure, permet d'accrocher un hamac sous le patio.
Dans les petites ruelles ou sur la promenade au bord de mer les habitants le soir venu sortent leur chaises et se racontent les ragots du quartier ou alors observent les passants.
Sur la plage les palmiers nous rappellent que nous sommes dans les Caraïbes.
La musique Salsa qu'on entend ici ou là, aux décibels démesurés donne le tempo.
Les nouveaux restaurants installés ces derniers mois dans la rue principale pour la plupart, apportent une touche de luxe à l'endroit.
Voici ce qui manquait sur cette île, de bons, d'excellents restaurants.
Histoire, pour nous les expatriés de ne pas perdre les joies de la table.
Mais en fait vu les prix pratiqués ce sont surtout les plus aisés des Vénézueliens qui s'y rendent.
Pour ma part, j'aime ce village, et même si je n'ai pas les moyens d'aller dans ces restaurants tous les jours, je me ravi de leur présence.
J'ai trop souffert de dépenser de l'argent pour des repas qui ne valait pas leur addition.
Le village constitué de ces petites maisons collées les unes aux autres dont les façades sont peintes de couleurs pastel et vive parfois, comme dans une bande dessinée.
Les grilles aux fenêtres de style espagnoles et ces hautes portes d'entrées de bois vieillis, repeinte tous les ans, la hauteur des toits inclinés vers l'arrière de la demeure, permet d'accrocher un hamac sous le patio.
Dans les petites ruelles ou sur la promenade au bord de mer les habitants le soir venu sortent leur chaises et se racontent les ragots du quartier ou alors observent les passants.
Sur la plage les palmiers nous rappellent que nous sommes dans les Caraïbes.
La musique Salsa qu'on entend ici ou là, aux décibels démesurés donne le tempo.
Les nouveaux restaurants installés ces derniers mois dans la rue principale pour la plupart, apportent une touche de luxe à l'endroit.
Voici ce qui manquait sur cette île, de bons, d'excellents restaurants.
Histoire, pour nous les expatriés de ne pas perdre les joies de la table.
Mais en fait vu les prix pratiqués ce sont surtout les plus aisés des Vénézueliens qui s'y rendent.
Pour ma part, j'aime ce village, et même si je n'ai pas les moyens d'aller dans ces restaurants tous les jours, je me ravi de leur présence.
J'ai trop souffert de dépenser de l'argent pour des repas qui ne valait pas leur addition.
Je vous conseille Le Caranta et le Catabar que j'ai pu testé personnellement, le premier dans un style rustique avec orchestre certains soirs.
Le second avec pierres apparentes et meubles de choix, pour une gastronomie recherchée.
Ne pas oublier le Fondeadero, excellent, spécialités de poissons.
Il est situé sur le bord de mer, la vue sur la baie est superbe, attention la climatisation est à fond, prevoyez une petite laine ou profitez de la petite terrasse extérieure.
Enfin n'arrivez pas trop tard, il est souvent complet.
Enfin n'arrivez pas trop tard, il est souvent complet.
Quand aux autres laissez moi quelques temps ou peu plus d'argent pour vous en parler.
Bon appétit et bon séjour
Laurent
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire