vendredi 11 avril 2008

Chávez veut la libération d'Ingrid Betancourt

Disposé à reprendre le chemin humanitaire.
Chávez réitère la disposition à obtenir la libération de Betancourt.
Il prédis que l'échec supposé de la gestion économique du président des États-Unis, pourrait apporter une vague de réfugiés américains au Venezuela.

Caracas. - Le président Hugo Chávez, a réitéré sa disposition à obtenir la libération de l'ex-candidate présidentielle Colombienne, l'otage des FARC depuis plus de six ans, Ingrid Betancourt.
“Espère aller chercher Ingrid, et tous ceux qui sont dans les montagnes”, a déclaré Chávez, qui a dit être “disposé à reprendre le chemin humanitaire”, dont il a été révoqué à la fin de l'année passée par son collège colombien, Alvaro Uribe.
Chávez a fait ces déclarations à Caracas pendant la célébration d'un hommage au révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata (1879-1919), la fille du guérillero, Anne Marie Zapata, lui a remis la médaille de la Fondation, et le titre de président honorifique.
Sur-le-champ l'ambassadeur cubain qui était présent au Venezuela, Germán Sánchez Tertre, a présenté il y a deux jours dans la capitale Vénézuélienne son livre “Transparence d'Emmanuel”, dans lequel il raconte sa participation récente dans une libération initialement frustrée de deux otages des FARC.
Chávez, a prédit que l'échec supposé de la gestion économique du président des États-Unis, George W. Bush, pourrait apporter une vague de réfugiés américains à la Venezuela.
“Il y a des centaines de milliers de familles qui sont dans la rue (aux USA), nous aurons à nous préparer à recevoir les réfugiés des États-Unis ici (...) Si quelque chose a grandi aux États-Unis (pendant la gestion de Bush) c'était la misère et la pauvreté”, a dit Chávez.
Le chef de l'état a recommencé ses critiques tandis qu'on suppose l'écroulement de l'économie américaine, “le Gouvernement génocide de Bush investit en Irak des milliers de millions de dollars chaque mois, dans une guerre sans sens et sans raison, comme presque toutes les guerres”.
Chávez a cité, comme il le fait fréquemment, le leader cubain, Fidel Castro, et il a rappelé que c'est un “spécialiste profond de la réalité mondiale” qui avait déjà prophétisé il y a des années la crise présumée économique des USA.
Article paru dans El Sol de Margarita

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