Venir s'installer à Margarita
Pour ceux qui voudraient venir s'installer sur cette île des Caraïbes-Sud, voici quelques conseils:
- Prévoir un repérage
- Parler l'Espagnol
- Ne pas rêver
- Faire profil bas
- Etre patient
- Papiers
- Prévoir un repérage:
Deux solutions, l'une un séjour de quelques semaines pour visiter l'île et l'autre utiliser la durer des 3 mois du visa touristique délivrer d'office. De toute façon vous serez obligé de rentrer dans votre pays d'origine pour obtenir votre visa long séjour. Vous pouvez opter pour une autre solution, qui est de payer vos papiers, le prix varie en fonction de votre intermédiaire, de 300 à 900 euros, je vous déconseille cette solution, car la garantie d'authenticité n'est pas fournie, de plus ce n'est pas une solution à long terme.
- Parler l'Espagnol:
Vous pouvez toujours apprendre sur place, mais la durée de cet apprentissage va pénalisé vos avancées dans vos démarches. Au-delà de la langue, la mentalité des sud-américains est à admettre et à comprendre. Ce sont d’abord des Latins (tout est dramatisé), teinté de l’esprit Caraïbe (nonchalance et insouciance), plus un zest de sud Amérique (excessivité et susceptibilité).
- Ne pas rêver:
Ce n’est pas l’eldorado, et ceux qui ce l’imagine perdent beaucoup d’argent, attention aux mirages. Mais pour les travailleurs, alors là il y a de la place et peu de concurrence. Il y a encore beaucoup de choses à faire ici.
- Faire profil bas:
C’est un des premiers conseils que l’on nous a donné, c’est une des règles la plus importante. En effet la jalousie peut vous attirer des ennuis, vous n’êtes pas chez vous il faut s’en souvenir. Les Vénézuéliens ne sont pas stupides, même si ils vous paraîtront manquer de culture ou de savoir. Attention à votre comportement, l’île est petite et le moindre faux pas peut-être préjudiciable.
- Etre patient:
On m'a souvent dit « si tu n’es pas content, fais ta valise et vas-t’en ». Face à la nonchalance, la nervosité peut-être d’un effet dévastateur. La solution faire preuve de fermeté, de courtoisie et de respect face à son interlocuteur. Attention, les jours d’activités non pas la même valeur ici, de plus les paroles sont souvent en l’air. A vous de vous y adapter, ce qui n’est pas toujours évident il est vrai.
- Papiers:
Le visa est le document le plus important pour faire vos démarches. Il en existe plusieurs selon votre situation. Renseignez-vous auprès du consulat ou de l’ambassade pour obtenir toutes les infos. Deux possibilités, l’une vous effectuer toutes les démarches avant de partir. Mais les documents doivent être traduit en Espagnol par un notaire ou la chambre de commerce de votre domicile. La provenance de vos fonds, votre niveau d’investissement, vos capacités ou connaissances (diplômes), il vous faudra prouver vos intentions. Ce qui n’est pas simple, voire même assez compliqué. L’autre solution, constitué ici votre dossier, c’est ce que j'ai fait, et retourner dans votre pays d’origine le présenté. L’avantage, pas de traduction et votre investissement est prouvé. Attention le timing est très serré.
Pour ceux qui voudraient venir s'installer sur cette île des Caraïbes-Sud, voici quelques conseils:
- Prévoir un repérage
- Parler l'Espagnol
- Ne pas rêver
- Faire profil bas
- Etre patient
- Papiers
- Prévoir un repérage:
Deux solutions, l'une un séjour de quelques semaines pour visiter l'île et l'autre utiliser la durer des 3 mois du visa touristique délivrer d'office. De toute façon vous serez obligé de rentrer dans votre pays d'origine pour obtenir votre visa long séjour. Vous pouvez opter pour une autre solution, qui est de payer vos papiers, le prix varie en fonction de votre intermédiaire, de 300 à 900 euros, je vous déconseille cette solution, car la garantie d'authenticité n'est pas fournie, de plus ce n'est pas une solution à long terme.
- Parler l'Espagnol:
Vous pouvez toujours apprendre sur place, mais la durée de cet apprentissage va pénalisé vos avancées dans vos démarches. Au-delà de la langue, la mentalité des sud-américains est à admettre et à comprendre. Ce sont d’abord des Latins (tout est dramatisé), teinté de l’esprit Caraïbe (nonchalance et insouciance), plus un zest de sud Amérique (excessivité et susceptibilité).
- Ne pas rêver:
Ce n’est pas l’eldorado, et ceux qui ce l’imagine perdent beaucoup d’argent, attention aux mirages. Mais pour les travailleurs, alors là il y a de la place et peu de concurrence. Il y a encore beaucoup de choses à faire ici.
- Faire profil bas:
C’est un des premiers conseils que l’on nous a donné, c’est une des règles la plus importante. En effet la jalousie peut vous attirer des ennuis, vous n’êtes pas chez vous il faut s’en souvenir. Les Vénézuéliens ne sont pas stupides, même si ils vous paraîtront manquer de culture ou de savoir. Attention à votre comportement, l’île est petite et le moindre faux pas peut-être préjudiciable.
- Etre patient:
On m'a souvent dit « si tu n’es pas content, fais ta valise et vas-t’en ». Face à la nonchalance, la nervosité peut-être d’un effet dévastateur. La solution faire preuve de fermeté, de courtoisie et de respect face à son interlocuteur. Attention, les jours d’activités non pas la même valeur ici, de plus les paroles sont souvent en l’air. A vous de vous y adapter, ce qui n’est pas toujours évident il est vrai.
- Papiers:
Le visa est le document le plus important pour faire vos démarches. Il en existe plusieurs selon votre situation. Renseignez-vous auprès du consulat ou de l’ambassade pour obtenir toutes les infos. Deux possibilités, l’une vous effectuer toutes les démarches avant de partir. Mais les documents doivent être traduit en Espagnol par un notaire ou la chambre de commerce de votre domicile. La provenance de vos fonds, votre niveau d’investissement, vos capacités ou connaissances (diplômes), il vous faudra prouver vos intentions. Ce qui n’est pas simple, voire même assez compliqué. L’autre solution, constitué ici votre dossier, c’est ce que j'ai fait, et retourner dans votre pays d’origine le présenté. L’avantage, pas de traduction et votre investissement est prouvé. Attention le timing est très serré.
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