jeudi 31 janvier 2008

Interview pour CouleurFrance.net

Le 21/01/2008, j'ai été interviewé par Nicolas pour le compte de http://www.couleurfrance.net/
Vous pouvez l'écouter sur le lien suivant http://www.couleurfrance.net/?page=tranches
A la rubrique suivante:
Le 24/01/2008
La tranche de vie d´un expatrié
Expatrié au Venezuela
N'oubliez de voter, d'avance merci.

Bonjour, j'ai le plaisir de vous informer que votre interview sera diffusée le Jeudi 24 janvier sur notre antenne (http://www.couleurfrance.net/). La rubrique "Tranches de vie" est diffusée à 5 reprises en raison du décalage horaire: à 10H15, 13H40, 17H15, 20H15 et 23H40 (heures approximatives à Paris). Vous pourrez également la retrouver pendant une semaine sur notre site dès sa diffusion à l'adresse suivante: http://www.couleurfrance.net/?page=tranches
Bonne écoute, Toute l'équipe de Couleur France vous remercie pour votre fidelité et vous souhaite une très bonne année 2008
Cordialement, Nicolas Bourboin
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Des Images de Margarita

Grâce à Google Earth voici quelques clichés.
















Juan Griego
















La Restinga
















Playa Caribe
















Playa El Agua
















Playa El Yaque
















Playa Parguito
















Punta Arena, Macañao















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Carnaval à Margarita

Le carnaval va commencer ce Vendredi 01/02/08.
Les écoles vont ouvrir les festivités, ensuite de Samedi à Mardi à partir de 17h,
le défilé aura lieu dans Porlamar.
L'itinéraire partira du vieux cimetière près de la place Bolivar, empruntera la calle Igualdad, jusqu'à l'avenue Santiago Marino, remontera vers la 4 de Mayo,
puis se dirigera vers l'avenue qui passe devant la caserne des pompiers
("Calle el Hambre") et ce finira ici.
Pour l'avoir vu l'année dernière, l'ambiance est festive, la qualité des chars est très variable.
Certains très beaux, d'autres beaucoup moins mais il donnent à la fête une touche amusante.
Tout le monde crie "Picha", afin de réclamer les "Caramelos".
Alors tout le monde se jette sur les friandises lancées par les participants du carnaval.
Voici quelques photos de l'an passé.
Et un lien vers un site local:


http://www.viajeros.com/diario-6176.html
































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vendredi 18 janvier 2008

Vente d'un terrain à Playa El Agua 55$m2


Dans un lieu très touristique ce terrain de 15.578m2 possède un permis de construire multiple (Commercial et ou habitation).

Il y a deux accès, ainsi que l'alimentation en eau et électricité.

Son prix et sa taille sont très attractifs. En effet dans cette zone les terrains sont parcellés à 1000m2 et moins, dans leur grande majorité, leur prix tournent autour des 120$m2.

Enfin le titre de propriété est valable et tous les documents, impôts sont à jour.

Pour ce prix de 55$ négociable le m2, c'est une vraie affaire.

Pour plus d'infos contactez moi.
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jeudi 17 janvier 2008

Le prix des taxis augmente








Le prix des taxis vient d'augmenter de 20%, soit le prix minimum de 8BsF.
Toutes les courses ont subi la hausse de 2 à 5 BsF.
Mais les tarifs sont libres alors il faut négocier, sachant que l'écart sera faible.
Voir un autre article:
http://margariteno.blogspot.com/2007/12/les-taxis.html
Hasta Luego
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vendredi 11 janvier 2008

Visas pour le Vénézuéla

Vous trouverez ci joint les coordonnées du consulat du Vénézuéla à Paris.

8, impasse Kleber, 75116 Paris

Téléphones:
Passaport : 01 45 53 71 27
Visa : 01 45 53 71 26
CADIVI : 01 45 53 92 11
Registros venezolanos : 01 45 53 92 10
E-mail : consulado@amb-venezuela.fr
Web : http://www.embavenez-paris.com/
Horaires : Lundi à vendredi de 9:00 h a 12:00
de 14h30 à 17h00 au téléphone uniquement.

Il existe une multitude de visas selon sa situation.
Attention ici beaucoup de monde vous proposerons des papiers.
Ils seront souvent faux ou de vrai-faux délivré par des fonctionnaires peu scrupuleux, un conseil respecter la loi cela vous évitera des soucis ultérieurement.
Et surtout des économies, en effet les prix ( 1000€ ou plus) sont exorbitants pour les démarches à faire.
Enfin soyez indulgents les filles du consulat sont sympas, pensez à leur offrir des chocolats, c'est une tradition locale.
Enfin aucune démarche pour un séjour de 3 mois maximum.
Sinon 2 solutions faire les démarches pour l'obtention du visa ou bien sortir du pays.
Il existe la solution du tampon des douanes (payant) qui évite de sortir, mais de la même manière je vous le déconseille.
Si vous désirez des conseils personnalisés, n'hésitez pas.
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Libération des otages

Voilà elles sont libres enfin...
Les journaux en font leur une et les Télés diffusent en continue les images.
Il reste beaucoup d'otages, en espèrant leur liberté le plus rapidement possible.
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mardi 8 janvier 2008

Carnet de route d'Olivier

Hola Laurent,
Voici comme promis un petit condensé de mes vacances....j'ai essayé de me mettre à la place du lecteur....

***Le Vénézuela est l'équivalent de 2 fois la France où plaines, plages, jungle et montagnes se partagent le sol avec une faune et une flore magnifique.
Pour mon premier voyage de 3 semaines sur cette terre inconnue à mes yeux, je me suis contenté de faire la capitale "Caracas" et ensuite Isla Margarita, mais je songe réellement à revenir pour faire le reste.
Il faut avouer que j'avais l'avantage de connaître une personne sur place à Caracas dont j'avais fait connaissance auparavant au Mexique.
"Caracas" est la ville par excellence où l'on trouve à l'identique des grandes villes du positif et du négatif, pour ma part étant accompagné j'ai pu voir l'essentiel comme par exemple la "Plaza Francia" avec son magnifique Obélisque et profiter des terrasses de nuit de restos sympathiques....Je conseille aussi pour avoir une "vue aérienne" de la ville de prendre le téléphérique qui vous monte au sommet de la montagne, et de là vous pourrez admirer d'un coté la ville et les montagnes qui l'enclavent et de l'autre coté le bleu de l'océan.....
Malgrés la mauvaise réputation de Caracas, je n'ai pas ressenti de malaise profond, mais le fait d'être accompagné fausse peut être mon point de vu, toujours est-il, comme dans toutes villes où il y a de la misére, si vous ne vous affichez pas vous diminurez les risques....
Aprés avoir séjourné cinq nuits à Caracas, nous sommes allés à Margarita, une ile à trois heures de route et deux heures de ferry dans lequel on peut y mettre plus de 150 véhicules, mais bien sûr vous avez l'option plus rapide qui est l'avion !
Enfin ! Nous voilà arrivé à Margarita et vraiment en vacances !
J'avais auparavant via Internet depuis la France, réservé un appartement sur le blog "http://margariteno.blogspot.com/".
Nous étions attendu par Laurent et Adriana, les très sympathiques gérants malgré notre arrivée tardive au port de Margarita ; Après 3/4 d'heure environ de route nous sommes arrivé à l'appartement qui m'a tout de suite séduit ; celui-ci se situe à 400m de la plage dans une résidence gardée avec piscine et au calme. De plus l'accueil de Laurent et Adriana est chaleureux et sont toujours joignable si nécessaire.
Isla Margarita m'a enchanté, ici c'est l'ambiance festive avec de la music où que l'on aille, ses plages de sable blanc, ses montagnes recouvertes de cactus, sa mangrove et sans oublier sa Cerveza et ses jolies femmes....
Une visite de la mangrove s'impose, on peut y voir entre autre avec un peu de chance des Hippocampes; Il faut savoir qu'après une heure de ballade dans la mangrove, on vous déposera sur une grande plage, où d'ailleurs j'y ai mangé de petites par nature mais délicieuses huîtres de la mangrove pour 1 euro la douzaine ! On viendra vous rechercher à l'heure de votre choix....
L'île dispose d'un belvédère que je recommande de faire avec sa vue magnifique et éventuellement profiter de la vue depuis la terrasse du très bon restaurant qui s'y trouve.
La nuit, proche de la résidence vous trouverez une discothèque de plage bien sympathique, sinon si vous décidez de bouger vous trouverez d'autres discothèques, ainsi que des bars, un parc d'attraction et si le coeur vous en dit vous avez même un casino !
Vous ajoutez à tout cela des gens sympathique et toujours prés à vous indiquer votre chemin, ce qui vous donnera un séjour mémorable....!!!
Encore merci à Laurent et Adriana, que la chance soit avec vous et bonne continuation***

A+

Olivier.
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lundi 7 janvier 2008

Appartement 245m2 à vendre

Situé à Margarita, île des Caraïbes au Vénézuéla.
Pour 175.000€ négociable,
Superbe appartement face mer, ou plutôt les pieds dans l'eau.
Avec 3 chambres dont une avec un salon privé.
3 salles de bain, 1 WC visiteur, 1 Jacusi avec la vue sur la mer.
Places de parking au sous-sol, gardiennage de l'immeuble.
L'appartement est vendu meublé et tout équipé tel que sur les photos.
Si vous désirez plus d'informations et des photos, contactez moi.







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dimanche 6 janvier 2008

Mon Dimanche à la plage

Voilà dans quel état je suis arrivé
Il y a plein de monde
Voilà ce que l'on peut admirer

Donc je m'approche et ...

Voilà comment j'ai fini ...
Elles ont été prises à Playa Parguito, c’est le lieu préféré des Vénézuéliens du continent.
On y trouve plus d’une vingtaine de plages privées, des vendeurs ambulants gravitent sur la plage et vous proposent toute sorte de produits.
Des lunettes de soleil, des bijoux (soit disant artisanaux), des paréos, maillots de bain.
Ainsi que des aliments : glaces, gâteaux, fruits de mer (huîtres, crevettes,…).
Des masseuses, des diseurs d’avenir (ligne de la main, tarot).
Qui sont ces petits vendeurs ?
Il y a plusieurs catégories :
Les voisins qui envoient leurs enfants pour arrondir la fin de semaine,
Des petits malins qui en font un vrai boulot,
Des jeunes sud-américains baroudeurs ou plutôt type rasta, trouvant ainsi le moyen de se payer quelques artifices pour rêver à une meilleure vie.
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samedi 5 janvier 2008

Carnet de Route de Xavier

Vous trouverez ci-dessous les aventures de Xavier au Vénézuéla.
Envoyez moi vos expériences je les publieraient.



Le Venezuela, terre mythique découverte par C.COLOMB en 1498 nous a une fois de plus enchanté par la diversité de ses paysages et la sympathie de ses habitants.
Sur le continent, de Puerto la Cruz, en passant par Santa Fé et Cumana jusqu'à la péninsule de Paria se succèdent des archipels d'îlots inhabités et désertiques composés de rocailles et de cactus suivis par des forets luxuriantes aux arbres centenaires en descendant des montagnes amazoniennes vers Maturin.
Nous venons de découvrir le parc Naturel de Mochima.Si vous vous arrêtez à Santa fé, allez dormir de notre part chez Jean Pierre et Françoise à la Posada "Le petit Jardin", attention Jean Pierre est un pompier à la retraite qui a arrêté l'eau il y a longtemps et ses apéros peuvent être interminables....si vous êtes aussi passionné que lui.
La route qui suit et nous mène jusqu'à l'orenoque -territoire encore peuplés d'indiens- nous a donné un avant goût des Llanos, plaines alluviales ou nous rencontrons des troupeaux de "boeufs à bosses" perdus au milieu de cette immensité de pâturages.
Nous arrivons alors sur le fleuve Orénoque se trouve toute la richesse minière et pétrolifère du pays après avoir traversé des kilomètres de fôrets de conifères, on se serait cru en plein coeur des Landes avec nos interminables forêts de pin.
En passant par "el puente Orinoco" nous accédons aux villes de Ciudad Bolivar, Ciudad Guyana et Puerto Ordaz qui sont la parfaite illustration de la dynamique économique de ce pays aussi vaste que la France.
Sur ces routes vous croiserez à longueur de journée des convois de Mack transportant citerne, minerais, bois ...ainsi qu'une multitude de gros 4x4 américains aux vitres fumées......quand je vous parle de la dynamique économique du pays , il faut le voir pour le croire.
Dommage, le temps nous manque et nous pouvons aller voir ce fameux Salto Angel, chutes d'eaux les plus hautes du monde découvertes par un explorateur nommé Jimmy ANGEL, moi qui croyant que c'était la traduction littérale le saut de l'ange, tout faux et pourtant....Nous repartons vers Margarita, déposant à l'aéroport de Barcelona notre Land Cruiser essence consommant 25 litres/100km, encore un paradoxe de ce pays, nous avons effectué presque 2000 km pour la modique somme de 5 euros de carburant, incroyable....
Nous retrouvons Laurent, el Maragariteño, Juanais exilé qui commence à parler l'espagnol en ne prononçant plus les "s" ni les fins de phrases, un vrai Margaritain en somme, même moi exilé du sud de l'Espagne, j'ai parfois du mal à le comprendre....
Il a choisi cette île en forme de papillon comme terre d'accueil et vu son sourire et son enthousiasme il ne semble pas prêt d'en partir....Ses commentaires sur la stabilité du pays, son pouvoir politique et la vie "tranquilo y chevere" des venez sont une mine d'or d'informations pour nous européens à la quête de d'informations sur la vie ici, change, coutume, lieux tendances.
Son amie Vénézuelienne Adriana, dont le niveau de français en surprendra plus d'un, confirme la tranquillité de la vie ici pour qui respectent les règles cachées présentes d'ailleurs dans toute l'Amérique du Sud.
Si vous êtes sympa (vous leur avez apporté du camembert et du saucisson de France), ils prendront le temps de vous emmener dîner ou boire un verre en bord de plage à Pampatar dans les endroits branchés de l'île ou chez Jeff au Nova Café (un autre français exilé).
Attention ne buvez pas trop de Caipirinha ou de Cuba libre....ils sont servis avec beaucoup de générosité et n'essayez surtout pas de faire une compet avec un Venez, nous avons essayé, c'est perdu d'avance.
Cette île est un véritable condensé de la culture et des paysages Vénézuéliens, vous pourrez y rencontrer des Caracaceños en vacances, des Brésiliens, des Colombiens mais aussi des Allemands en short avec des chaussettes à leur nu pieds et même des Charentais exilés qui tiennent une posada....quand je vous dis un véritable melting pot....
C'est le lieu idéal en somme pour profiter des magnifiques plages des Caraïbes, certainement pas les plus belles c'est sur, mais avec une diversité d'ambiance incomparable et une proximité qui vous permet de passer du petit port de pêche "Playa Manzanillo" ou vous serez allongé aux cotés d'une lancha sentant encore le poisson de la pêche du matin à la plage plus branchée de Parguito.
Parguito ou vous pourrez dans une ambiance lounge regarder évoluer les surfeurs et leur compagne à maillots à ficelle déambulant le long de la plage l'air fashion avec lunettes de soleil et petit chiens en laisse...
Pour les plus sportifs vous pourrez aller pratiquer le kite ou la planche à El Yaque dans une ambiance très européanisée, allez alors déjeuner chez Jean Luc le restaurateur Français à côté de la base Mistral qui entre deux risées vous cuisinera des merveilleux encornets.
Les différentes plages de l'île décrites ci-dessus nous les avons découvertes en nous baladant avec des taxis locaux, il nous a fallu faire un choix crucial entre de vieilles américaines hors d'âge à la musique envoûtante des moteurs 6 et 8 cylindres ou des japonaises beaucoup plus récentes (blanches à rayure jaune comme les abeilles et aussi rapides d'ailleurs...vous constaterez par vous même) .
Laurent nous a même expliqué que comme à Cuba ces vieilles américaines ne peuvent plus être exportés, elles font partie du patrimoine historique.
Ces chauffeurs de taxis vous emmèneront ou vous le désirez pour des prix variant de 10000 à 60000 bolivars selon la distance parcourue et le taux de change.....10 à 60 bolivars fuerte désormais.
Rassurez vous, en euros cela représente entre 2 et 10 euros la course aller, une fortune non !Sinon pour les plus aventuriers au petit budget n peut opter pour les bus locaux, sans certitude de l'heure exacte d'arrivée, pas très grave pour des vacanciers.
Ah j'allais oublier la Restinga, mangrove séparant les deux côtés de l'île ou vous pourrez avec une lancha vous prendre un instant pour un explorateur au milieu des interminables canaux, ne pas oublier l'appareil photo pour immortaliser, les étoiles de mer et les hippocampes peuplant ce milieu aquatique mélangé d'eau douce et d'eau salée.
La route qui mêne à cette lagune est bordée de cactus et donne des sensations de Nouveau Mexique tout comme le côté ouest de l'île très désertique (Macañao) que l'on peut même découvrir au travers de ballade à cheval organisée par Cabacatan, ranch tenu par des français et oui encore des français.....
Par manque de temps on peut aussi tout faire dans la journée avec une jeep safari pour la modique somme de 40 $ repas et rhum inclus bien sur.
Voila si la destination vous tente, Laurent el Margariteño vous en dira plus et si vous en êtes tombé amoureux comme nous, il vous "donnera" tous les tuyaux pour une expatriation et une installation réussie sur l'île, il dispose d'ailleurs de quelques biens immobiliers à vendre à des prix défiants toute concurrence.

Hasta luego

Muchas gracias a ti Lorenzo y buena suerte.

Javier

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vendredi 4 janvier 2008

Confusion aux distributeurs


Depuis mercredi les queues s'allongent dans les banques ou près des distributeurs automatiques.

En effet les Vénézuéliens avides de nouveauté tentent d'obtenir leur premier Bolivar Fuerte.

Malheureusement en cette période les transactions sont déjà importantes en volume.

Du coup les 300Bs Fuerte promis à chacun ne peuvent être honoré, parfois 30BsF ou rien.

Vous trouverez ci-joint un extrait d'un article du jour paru dans El Sol de Margarita.


En Nueva Esparta
Reconversión monetaria genera confusión en cajeros automáticos
Los usuarios manifiestan tardar un poco más en realizar sus operaciones. El redondeo genera dolores de cabeza entre los consumidores.
Como todo nuevo proceso, la reconversión monetaria avanza con algunos tropiezos en el estado Nueva Esparta, donde los margariteños aún no se adaptan completamente al proceso y presentan algunos problemas al realizar sus principales operaciones.
Los cajeros automáticos y bancos se mantienen llenos estos primeros días del año. Algunos acuden a las instituciones financieras ansiosos por estrenar los nuevos billetes, otros asisten para realizar operaciones rutinarias, aunque los procesos son un poco más lentos.
Los usuarios bancarios manifiestan algunos inconvenientes a la hora de retirar dinero de sus cuentas utilizando los cajeros automáticos.
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mercredi 2 janvier 2008

Libération des otages reportée


La libération des otages des FARC reportée, ces derniers ont reprochés au gourvernement Colombien des activités militaires dans le secteur prévus pour la remise des otages.

Le président Chavez quand à lui se retrouve au milieu d'un reglement de compte par presse interposé entre les FARC et le président Uribe. En effet la présence d´Emmanuel (l'enfant otage) est remise en cause. Les services secrets ont découvert que les guerrilleros étaient à la recherche du petit auprès d'orphelinats locaux. Après enquête, il se pourrait que l'enfant ai été transféré à Bogota.

Bref c'est l'echec de l'entreprise du président Chavez, qui doit trouvé une solution rapidement s'il veut garder l'avantage du sauveur.

Dans l'attente d'un test ADN afin de déterminé l'identité de cet enfant, le pays reste circonspect.
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Bolivar Fuerte

Ici le pays attend de voir quels en seront les effets, mais la prudence et l'inquiétude dominent ces habitants.
Voici un article paru sur le site du NouvelObs.com

Le Venezuela a adopté une nouvelle monnaie avec le passage à l'an 2008, supprimant trois zéros dans l'objectif de simplifier les transactions et de raviver la confiance dans une monnaie qui a perdu de la valeur en raison d'une inflation élevée.
"Nous mettons fin à un cycle historique (...) d'instabilité dans les prix", a souligné lundi le ministre des Finances Rodrigo Cabezas.
Les prix ont augmenté alors que le président Hugo Chavez finançait des programmes sociaux avec les revenus du pétrole. Les mesures lui ont permis d'accroître sa popularité au sein des populations défavorisées et entraîné une croissance économique de 8,4% en 2007.
La Banque centrale a lancé une campagne de promotion de la monnaie, avec le slogan "Une économie forte, un bolívar fort et un pays fort".
Mais certaines voix se sont élevées pour dénoncer un "bolívar faible", observant que la puissance d'achat de la monnaie précédente avait souffert d'une économie dans laquelle l'inflation avait grimpé de 20% en 2007, soit le plus fort taux d'Amérique latine.
Selon l'économiste vénézuélien Luis Vicente Leon, la nouvelle monnaie pourrait donner à certains "un sentiment de stabilité", mais il s'agit d'un "changement cosmétique".
De sources gouvernementales, on répond qu'il était temps de calquer les valeurs vénézuéliennes sur celles des autres pays de la région. Au lieu de billets affichant de nombreux zéros, le nouveau billet le plus élevé sera de 100 bolívars forts. La transition entre l'ancienne et la nouvelle monnaie s'effectuera au cours des six prochains mois.
Cette mesure "était nécessaire pour tourner la page des conséquences d'une tradition d'inflation élevée", a souligné dans un discours télévisé le président de la Banque centrale Gaston Parra. L'objectif est de "renforcer la confiance dans le symbole monétaire".
La nouvelle monnaie est l'un des nombreux changements promus par Hugo Chavez, qui a déjà modifié l'écusson et le drapeau nationaux, et même le nom du pays, devenue la République bolivarienne du Venezuela, en hommage au héros de l'indépendance Simon Bolívar. AP

Article issu du site le NouvelObs:



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